Préambule

Cette tribune est dédiée aux questions qui se posent le plus souvent à propos de QPM® et de son principe. Elle est évidemment appelée à évoluer en fonction des nouvelles interrogations susceptibles d'apparaître dans les années à venir. Elle prend momentanément la place de la bibliographie, qui sera remise en ligne dans sa nouvelle mouture d'ici quelques semaines.

Notre désir est de faire preuve de transparence à l'égard de ceux qui s'intéressent à notre technologie, tout en essayant de rester simples et didactiques dans le cadre de nos réponses.

Bien que très précis, les éléments produits ci-après sont destinés à l'information de lecteurs non spécialisés.


Quel est l’objectif de QPM® ?

QPM® présente t’il un risque pour la santé ?

Qu'est ce que l'impédance électrique du corps humain ?

Quelle est la stabilité de l'impédance électrique corporelle ? S'agit-il d'une observable fiable ?

Le principe de la mesure d'impédance sur le vivant est-il récent ? Est-il scientifiquement avéré ?Quelles sont les autres applications de l'impédancemétrie moderne ?

QPM® peut-il se tromper ?

De quoi est faite l'électronique de QPM® ?

Quel type de logiciel est utilisé pour permettre à QPM® de fonctionner ?

Pourquoi la base de données permettant l'interprétation des mesures QPM® est-elle dans un serveur distant et non pas dans l'ordinateur local de l'opérateur ?

Pourquoi Quantic Potential Measurement ?
Pourquoi le discours sur QPM® est-il parfois hermétique malgré nos efforts ?

 

Quel est l’objectif de QPM®

QPM® est avant tout une entreprise qui développe un produit novateur et qui désire le faire connaître et apprécier du plus grand nombre, si possible dans le monde entier. Hormis cette démarche classique, QPM® est aussi une entreprise citoyenne qui se veut participante et proactive dans l'approche humaniste des relations sociales.

De par la nature de son activité, QPM® favorise l'émergence de nouvelles représentations. Donc QPM® participe, avec enthousiasme, à la création de nouvelles cartes pour enrichir la connaissance d'un monde encore mal connu : le cerveau humain et ses schémas fonctionnels.

Nous sommes au tout début d'une aventure passionnante. Aucune piste ne doit être négligée. Osons l'innovation.

 

QPM® présente t’il un risque pour la santé ?

Non, QPM® n'est pas dangereux pour la santé car l'énergie électrique mise en jeu lors d'une mesure et extrêmement faible. Qui plus est, la mesure est très brève (quelques secondes seulement).

Alimentée par la prise USB de l'ordinateur, l'électronique de QPM® comporte des circuits isolés optiquement d'une part, et un système de découplage et de régulation qui maintient une tension très basse en toute sécurité, d'autre part.

Quant au courant qui parcourt l'organisme via les électrodes, pour information, il représente en moyenne 0.00002 Ampère. QPM® prend en compte la véritable impédance des tissus profonds du sujet.

 

Qu'est ce que l'impédance électrique du corps humain ?

Rappelons d'abord que la résistance électrique d'un conducteur est une grandeur qui caractérise la "force" avec laquelle celui-ci s'oppose au passage du courant. Elle s'exprime en ohm, symbolisé par la lettre Ω.

Dans le cas des êtres vivants, et plus spécifiquement des humains, cette résistance est difficile à mesurer avec un simple ohmmètre du commerce. En effet, pour effectuer cette mesure, l'instrument est équipé de deux électrodes polarisées électriquement que l'on va poser au contact de la peau ou des muqueuses.

On s'aperçoit alors immédiatement que l'on n'obtient pas une mesure exploitable, car celle-ci varie rapidement, et a une fâcheuse tendance à augmenter avec le temps. C'est un phénomène connu, que l'on observe lorsqu'on a affaire à une solution électrolytique (le cas du corps humain), et qui est dû principalement à la polarisation des électrodes. Sous l'action de la différence de potentiel, si petite et si brève soit-elle, on assiste à une migration des ions qui tend à neutraliser le passage du courant. Donc, on retiendra des quelques lignes qui précédent, que la résistance électrique de l'organisme n'est pas aisée à mesurer de façon fiable avec un dispositif simple tel qu'un ohmmètre.

Pour remédier à ce phénomène de polarisation, les chercheurs ont très vite considéré avec intérêt le courant alternatif. On peut alors réaliser une mesure stable et reproductible, en alternant assez rapidement la polarité des électrodes. Bien évidemment, les valeurs de courant doivent demeurer les plus faibles possibles. Donc, l'impédance caractérise la force avec laquelle un conducteur électrique (tel l'organisme humain) s'oppose au passage du courant alternatif à une fréquence connue.

 

Quelle est la stabilité de l'impédance électrique corporelle ?
S'agit-il d'une observable fiable ?

Les cartes d'impédance corporelle sont différentes d'un individu à un autre, et d'une zone du corps à une autre. Néanmoins, malgré ces variations, il existe des typologies électrophysiologiques très stables et représentatives.

Pour une même personne, le résultat des mesures s'avère relativement reproductible d'un moment à l'autre et d'une zone à une autre (en mode de mesure instantanée), si le sujet n'a pas vécu de stimulations fortes ou de traumatismes entre deux. Evidemment les protocoles expérimentaux doivent être respectés.

L'analogie la plus parlante reste celle de la photographie d'un visage. Il n'y a jamais une parfaite similitude (au sens rigoureux du terme) entre plusieurs photographies de la face d'un même individu. Et pourtant, on peut affirmer que si les différentes photographies sont juxtaposées, un observateur (même faiblement entraîné) ne connaissant pas la personne, les reconnaîtra avec assurance parmi d'autres.

Pour compléter cette analogie avec la photographie de visage, la cartographie d'impédance corporelle comporte des variables et des invariants. A elle seule, la reconnaissance de telles zones apporte beaucoup d'informations.

 

Le principe de la mesure d'impédance sur le vivant est-il récent ?
Est-il scientifiquement avéré ?
Quelles sont les autres applications de l'impédancemétrie moderne ?

L'usage potentiel de la mesure d'impédance en biologie, en médecine ou en psychologie est exploré depuis de nombreuses années par des chercheurs de renoms, dans des universités ou des laboratoires réputés.

L'intérêt de la recherche pour ce domaine est une vieille histoire qui a près d'un siècle d'âge.

Jusqu'à récemment, les débouchés étaient limités en raison de problèmes de technologies, mais aussi de questions de complexité liée au traitement numériques des signaux.

Grâce aux progrès de l'électronique, de l'informatique et consécutivement aux travaux réalisés dans le cadre de la recherche fondamentale, de plus en plus d'applications voient le jour.

L'historique que nous proposons est issu du travail remarquable de deux jeunes chercheurs de l'université de Compiègne, Samy BAYOD et Aude HERMANT. Il résume bien l'épopée de la recherche dans le domaine de la bioimpédance :

1907 Cremer teste le phénomène de bioimpédance sur un coeur isolé de grenouille.

1926 Première utilisation des électrodes de contact dans une mesure d'impédance pulmonaire avec des vues de diagnostic d'oedème.

1940 Nyober développe la théorie de la bioimpédance en identifiant le corps étudié à un cylindre, il introduit la notion de résistivité du sang en Ohm/cm. Cette étude a pour but la mesure de la variation du débit sanguin.

1962 Thomasett découvre la relation entre la bioimpédance et la quantité totale d'eau corporelle.

1966 Kubicek reprend les travaux de Nyober et apporte un véritable progrès dans la technologie de la bioimpédance. Il substitue à la notion d'impédance, la notion de dérivée première: dZ/dt qui représente le taux de variation d'impédance. Il teste sur des astronautes de la NASA une équation qui détermine le volume d'éjection systolique en fonction de la bioimpédance. C'est la mise au point du premier appareil de monitorage de la bioimpédance : le Cardiographe d'Impédance Minnesota.

1970 B. Pullen de l'université de Manchester propose l'idée d'une imagerie d'impédance utilisant les différences de conductivité entre les tissus. Ce procédé d'imagerie est complètement nouveau et différent des autres techniques. De plus, la sensibilité des tissus offre une variation des valeurs de conductivité grande (plus grande que le coefficient d'atténuation des rayons X).

1978 Henderson met au point un système d'acquisition des données en imagerie d'impédance utilisant 144 électrodes. Il applique une tension et récupère un courant.

1983 La première image d'impédance expérimentale in vivo est réalisée par Barber & Brown et Nyober, qui, parallèlement, applique le principe de résistivité électrique volumique pour déterminer le TBW (Total Body Water = eau corporelle totale) d'un patient.

1985 Sramek, Bernstein & Quail travaillent à l'amélioration de l'équation de Kubicek. Ces différents travaux débouchent sur la mise au point du NCCOM3 qui sera commercialisé par Biomed Medical Manufacturing (USA). Cet appareil de mesure non invasive du débit cardiaque apporte un réel progrès. Il est toujours utilisé actuellement et a bénéficié de 8 révisions.

1987 Kim met au point un système d'imagerie à 192 électrodes utilisant la même méthode que celle d' Henderson.

1990 Brown et Rossell mettent au point séparément des systèmes d'acquisition des données semi-parallèle. Contrairement au système d' Henderson & Kim, un courant est appliqué et la tension récupérée.

Brown a aussi apporté un réel élan à l'imagerie d'impédance en mettant au point une foule d'applications cliniques telles que : la perfusion pulmonaire, la distension des vaisseaux sanguins, la congestion pelvienne, la mesure des fluides thoraciques, l'oedème pulmonaire... Même si l'imagerie d'impédance en est encore à ses balbutiements, un bel essor lui est promis.

Pour l'avenir de cette technique, il y a aujourd'hui dans le monde une trentaine d'équipes de chercheurs travaillant sur la bioimpédance (et particulièrement l'imagerie). La plupart d'entre-elles se trouvent en Amérique du nord et en Europe occidentale. Pour l'imagerie, elles s'orientent vers l'imagerie 3D, dynamique, fréquentielle et l'acquisition à grande vitesse des données.



Nous ne saurions trop conseiller au lecteur désireux d'approfondir ce sujet de se rendre sur le site consacré à la bioimpédance d'où sont extraites ces quelques lignes.

Il est difficile d'être exhaustif tant il existe de travaux. De plus, étant donné les enjeux industriels, nous savons que certains laboratoires réservent leur savoir en la matière.

Voici quelques exemples choisis qui donnent une idée du potentiel de cette technique mal connue :

  • L'une des applications qui a retenu notre attention, consiste à intégrer un impédancemétre miniaturisé dans une montre, les deux électrodes étant séparées de quelques centimètres. Les promoteurs de cette technologie ont établi un corrélat statistique entre la glycémie et la mesure de la bio conductivité in situ. On imagine les retombées pour les patients diabétiques.
  • Grâce à son caractère non invasif, la méthode d'impédancemétrie thoracique a aussi un avenir certain dans le domaine de la médecine spatiale. Il est établi que la mesure par ce biais du débit cardiaque et de ses constituants est très fiable en apesanteur.
  • Les laboratoires de biologie sont concernés pour la numération des leucocytes, hématies, plaquettes, et celle du volume globulaire moyen (VGM) qui sont effectuées par variations d'impédance.
  • Enfin, une des applications les plus populaires est le pèse personne impédancemètre, qui permet d'estimer le TBW, c'est à dire le Total Body Water ou masse d'eau corporelle. En utilisant ce résultat, la masse graisseuse ainsi que la masse musculaire sont estimées avec grande précision.

En conclusion, les applications des mesures de bioimpédance sont fiables et de plus en plus appréciées et utilisées.

 

QPM® peut-il se tromper ?

Sans s'interroger sur la pertinence de cette question ouverte et générique, elle peut se solder par une réponse affirmative quelque soit le domaine de la réalisation humaine !

Nous dirons que QPM® n'échappe pas à la règle. Le tout, étant de baliser clairement les limites du système et de les faire connaître aux utilisateurs, afin de demeurer dans la zone de fiabilité maximale lors d'une utilisation en conditions normales.

Si les concepteurs de QPM® ont choisit de mettre en place un système modulaire avec une base de données hébergée dans un serveur, c'est principalement parce que QPM® est évolutif. Autrement dit, on sait que QPM® progresse avec le temps et que la base de données s'enrichie des résultats et du feedback des nouvelles mesures. Donc par définition, QPM® est encore perfectible.


En ce qui concerne les erreurs, celles-ci peuvent être de plusieurs ordres. Il y a les classiques erreurs expérimentales qui sont en général des erreurs de manipulation, des problèmes de connectique, des protocoles non respectés ou encore des environnements hostiles en matière de conditionnement du sujet. Bien que rares, ces problèmes existent et dans la grande majorité des cas sont facilement identifiés lors de la restitution de la mesure.

Dans un tout autre registre, il y a des erreurs (encore moins fréquentes) qui sont liées à des séquelles de traumas physiques chez le sujet mesuré tels que des cicatrices profondes, des fractures consolidées ou par exemple certaines arthroses très inflammatoires (celles-ci peuvent modifier l'impédance des tissus de façon significative et interférer sur les résultats) Là encore, les quelques questions qui accompagnent la restitution des mesures permettent d'identifier et de compenser ces artéfacts.

 

De quoi est faite l'électronique de QPM® ?

L'électronique de QPM® a été conçue pour pouvoir s'adapter à diverses applications.

Le boîtier est composé de 8 connecteurs entrée/sortie auxquels sont reliés des capteurs spécifiques. Dans la configuration actuelle, les capteurs sont de simples électrodes et seulement 6 points de contact sont utilisés (sur les huit qui sont disponibles).

Ce boîtier est aussi composé d'une sortie USB pour le branchement à un ordinateur présent sur site. Cet ordinateur héberge un logiciel qui contrôle l'électronique et impose les paramètres de la mesure.

L'application présente du QPM® n'utilise qu'une petite partie des ressources du système. Cette électronique modulaire, est composée d'une platine principale (ou carte mère) qui fait interface entre le sujet soumis à la mesure et un système de traitement de l'information. Quelques détails approfondis : La platine principale est une carte électronique multicanaux optocouplés. Un multiplexeur permet la gestion des points d'entrée/sortie. Elle contrôle la communication bilatérale entre un module branché sur le sujet et un module branché sur l'ordinateur. Le module connecté aux électrodes via le multiplexeur est responsable de l'émission du signal et de sa récupération. Sa calibration est ultra précise et sa stabilité est irréprochable. Il est immunisé des interférences électromagnétiques et compensé en température. De plus, avant chaque mesure, ce système procède à un autotest qui déclare ou non l'état de maintenance. A l'opposé, il y a le module USB qui injecte les codes de programmation au module de mesure et qui transfert à l'ordinateur les résultats.L'électronique QPM® a été conçue comme une sorte d'interface très versatile permettant d'effectuer des mesures électrophysiologiques dans diverses configurations sur des organismes vivants.

Elle peut travailler en "mode mesure instantanée" ou au contraire en "mode mesure continue". Elle permet alors d'effectuer un monitoring sur une période temps aussi longue que l'expérimentateur le désire. Les résultats révèlent les variations électrophysiologiques du sujet en temps réel, permettant des corrélations intéressantes entre des stimulations et des réactions consécutives.

Les capteurs, (les électrodes dans l'application actuelle) sont interchangeables afin de pouvoir mesurer d'autres grandeurs. Evidemment, l'interface USB peut être déconnectée et remplacée par un système bluetooth par exemple. Dans ce cas, il serait possible de recevoir les résultats sur n'importe quel système adapté, y compris un simple téléphone portable.

Comme le déclare Patrick VISIER, le futur est aux objets intelligents. QPM® est dans la course.

 

Quel type de logiciel est utilisé pour permettre à QPM® de fonctionner ?

Le système QPM® fait appel à plusieurs logiciels qui ont des fonctions très différentes et qui n'ont pas été conçus par les mêmes équipes.

L'électronique est contrôlée par un logiciel qui fonctionne sous le système d'exploitation Microsoft Windows™ XP ou Vista.

Il opère :

  • La communication (USB) avec le boîtier de mesure.
  • La mise en marche de l'électronique.
  • La programmation des circuits embarqués.
  • L'autotest du contrôle de bon fonctionnement.
  • Le lancement d'une mesure sur demande de l'opérateur (en fait il s'agit d'un cycle de mesures).
  • La récupération des données et leur pré-traitement mathématique.
  • Le cryptage et la transmission au serveur pour l'analyse finale. L'interface de ce logiciel est très ergonomique afin de permettre à l'opérateur de se consacrer au sujet (et non pas à la technologie). Précisons aussi que la réalisation d'une mesure de qualité, doit se faire dans le cadre d'un environnement contrôlé tel que décrit dans le manuel d'utilisation.


Une fois la mesure effectuée, le professionnel utilisateur se connecte à Internet pour transmettre les résultats à un serveur et pour lancer l'applicatif spécifique. Ce logiciel va transformer les données numériques en éléments interprétables. Il est hébergé sur les serveurs de QPM® et fonctionne via n'importe quel navigateur. De ce fait il est compatible avec l'ensemble des ordinateurs et systèmes d'exploitation existants (Pc, Mac / Microsoft, Unix, linux, …). On appelle ce type de solutions hébergées des ASP (ASP, Application Service Providers).

Donc, il suffit à l'opérateur de quelques minutes pour récupérer les éléments utiles à son travail. Via son navigateur, il pointe sur l'url www.quanticpotential.com et indique son login et mot de passe.

Son compte est configuré en fonction des types d'applicatifs auxquels il a souscrit.

Les fonctionnalités sont les suivantes :

  • Gestion des individus et leurs arborescences.
  • Importation des mesures.
  • Analyse de la qualité des mesures.
  • Décodage des mesures.
  • Restitution de l'interprétation en fonction de l'applicatif sélectionné.
  • Archivage des mesures aussi longtemps que l'utilisateur le souhaite. Ainsi, l'utilisateur peut à tout moment revenir sur une mesure pour réexaminer son contenu.
  • Configuration et transfert des interprétations.
  • Impression des résultats des mesures (in situ)Ce système est multi langage.


Une hotline est associée à l'utilisation de l'applicatif et l'opérateur peut se mettre en rapport directement via l'interface.
 

Pourquoi la base de données permettant l'interprétation des mesures QPM® est-elle dans un serveur distant et non pas dans l'ordinateur local de l'opérateur ?

Le premier élément de réponse réside dans le fait qu'il n'y a pas une seule, mais plusieurs bases de données dépendamment du domaine d'application. Bientôt celles-ci existeront aussi dans plusieurs langues. Le volume de tels fichiers est considérable.

Ensuite, comme dans tout système d'expertise, chacune d'entre-elles s'enrichit avec l'expérience accumulée jour après jour. Les utilisateurs peuvent ainsi bénéficier des ultimes améliorations en temps réel.

Pour finir, ces bases sont maintenues de façon professionnelle et présentent la garantie de ne jamais être corrompues ce qui ne serait pas forcément le cas dans une configuration 100% locale.

 

Pourquoi Quantic Potential Measurement ?

En langue anglaise Quantic fait référence à la nature des variables et au traitement polynomial que nous utilisons dans nos algorithmes.

Ce traitement s'appuie sur des variables équivalentes correspondant aux 30 "branches" ou zones de l'organisme mesurées. Ces mesures sont raffinées et moyennées mathématiquement puis "mixées" dans des polynômes spécifiques en rapport à chaque critère analysé.

En clair, il n'y a pas de correspondance simpliste entre une zone et une qualité spécifique car 30 zones mesurées nous renverraient à seulement 30 critères.

En fait, par un traitement mathématique qui s'effectue au niveau du serveur, il est possible d'extraire des informations (inaccessibles par la simple lecture des mesures directes), puis de restituer les résultats sous forme de diagrammes très complets. Prenons un exemple concret : si nous cherchons une information sur le thorax du sujet, alors nous aurons comme premier réflexe d'examiner les résultats des mesures entre la main droite et la main gauche. En effet le signal injecté d'un côté ressortira de l'autre après avoir parcouru en partie la zone à évaluer. Donc nous avons déjà deux mesures qui peuvent s'avérer intéressantes. Pourtant il ne s'agit là que d'une démarche assez simpliste pour deux raisons :

  1. La mesure en question n'est pas strictement représentative du thorax puisque le courant parcourt aussi les bras et les mains du sujet.
  2. Des informations relatives à la zone du thorax, (pour exemple) sont aussi présentes dans d'autres mesures telles les branches mains-pieds ou encore front-pieds.

C'est ici qu'intervient le traitement croisé des valeurs numériques dans des polynômes pour cibler ladite zone très précisément. Ce traitement des informations qui se fait au niveau du serveur de QPM®, a demandé plusieurs années de développement. L’expertise de nos scientifiques en médecine chinoise et en neurosciences a d'ailleurs été un facteur déterminant dans la précision et l'efficacité des grilles de lecture obtenue.

 

Pourquoi le discours sur QPM® est-il parfois hermétique malgré nos efforts ?

On reproche souvent à l'équipe de QPM® d'être trop technique et parfois, au contraire, de manquer de substance scientifique dans ses explications et dans ses références.

Alors, rappelons que les principes mis en jeu ne sont pas simples. Faute de disposer d'un savoir transdisciplinaire dans des domaines aussi variés que l'électronique, l'électricité, la biologie, la psychologie, l'informatique, les biocapteurs (…) la technologie QPM® est difficile à appréhender.

QPM® n'est pas apparu spontanément sur un coin de table. Il est le résultat d'un développement long et coûteux réalisé dans un cadre rigoureux.



Nous espérons que ces quelques Questions / Réponses, qui recevront bientôt d'autres compléments, seront un premier pas utile dans la clarification de notre démarche et des principes mis en œuvre dans notre système.

L'équipe de QPM® à votre service.